Plus de masque depuis six semaines, je vous raconte
Ça va faire six semaines que je ne porte plus de masque dans le métro.
Vraiment plus de masque, ni sous ne nez, ni sous le menton, plus de masque. J’ai décidé que c’était fini.
Depuis que nous vivons en dissonance cognitive, je pense souvent à Rosa Parks.
Vous vous souvenez de Rosa Parks ? Cette femme, en 1955, a refusé de se lever pour céder sa place à un Blanc comme la loi l’y obligeait, dans un bus aux Etats-Unis, durant la période de l’apartheid, de la ségrégation raciale. Elle est restée assise et son geste tout simple a donné lieu à un grand mouvement de grève des transports par les Noirs américains, mouvement qui a mis en péril la survie des compagnies de bus et a contribué à mettre fin à cette ségrégation.
Rosa Parks est inspirante parce qu’elle n’a pas l’allure d’une révolutionnaire comme on se les imagine. Pas de tenue militaire. Pas d’armes. Elle a l’air doux et bienveillant. Quand on regarde ses photos, on se dit que c’est une travailleuse, une mère de famille et on voit aussi qu’elle est déterminée, tranquillement déterminée.
Je n’ai que très peu porté le masque à l’extérieur. Autant cela m’a paru, au tout début, quand nous avons commencé à être englués dans le narratif de la terreur, cohérent de porter un masque à l’intérieur, autant cela m’a toujours paru absurde de le porter à l’extérieur. Lorsque le masque est devenu petit à petit obligatoire partout, il y a près de deux ans, j’étais à la montagne, en vacances et j’ai assisté à des choses folles. Je revois ce couple masqué sur un télésiège, une scène surréaliste. Idem pour les randonneurs. Sérieusement, à part celui de la mer, quel air peut être plus ventilé que celui de la montagne ?
J’ai rarement porté le masque à l’extérieur, si je l’ai fait parfois, c’est par crainte de l’amende, par exemple, aux abords d’une manifestation encerclée par des CRS dont l’un m’a fait remarquer que le masque était obligatoire, car je mettais mon masque en m’approchant de sa troupe, et puis, je l’ai remis au cœur d’une manifestation dans laquelle des CRS chassaient les non masqués et m’ont sommé de le mettre. J’étais en mode courageuse mais pas téméraire face à ces préposés à notre santé d’un genre inhabituel.
Aujourd’hui, au moment où j’écris ces lignes, le port du masque n’est plus obligatoire à l’extérieur et n’est plus obligatoire en intérieur sauf dans certains lieux, en particulier les transports en commun.
C’est drôle, mais il y a quelques mois, le ministre des transports, M. DJEBARRI ne cessait de nous répéter que l’on ne se contaminait pas dans les transports en commun et que c’était pour cela qu’ils n’avaient jamais été fermés.
Ah, ce virus intelligent, qui contamine à certains endroits, qui sait quand on est debout, assis, couchés, et qui nous attaque de manière sélective ! On n’en avait jamais connu de cette sorte. Ce virus qui repère les plexiglas de séparation et qui ne se glisse ni au-dessus, ni au-dessous. Ça, c’était sur les plateaux télé. Ce virus qui a peur des tentures en film plastique qui ne vont pas jusqu’au plafond et qui ne sont pas fixées hermétiquement au sol, ça, c’est chez le traiteur chinois. Ce virus dont il faut se protéger quand on est dehors mais contre lequel il est bon d’ouvrir les fenêtres pour aérer les pièces afin de… chasser le virus en renouvelant l’air intérieur avec l’air extérieur dont il fallait se protéger en portant un masque à l’extérieur !
Un livre que je n’ai jamais lu mais que j’envisage sérieusement de lire s’appelle : « L’effort pour rendre l’autre fou ». Je pense que nos dirigeants et le fameux cabinet qui les conseille, et qui ne paye pas ses impôts, l’ont lu. Leur objectif depuis deux ans est clairement de nous rendre fous, ou plutôt de nous rendre le plus dociles possible en nous empêchant de penser rationnellement. Nous sommes alors contraints au biais de confirmation selon notre degré de soumission au discours médiatique et politique dominant.
Qu’est-ce qu’un biais de confirmation ? J’ai appris ça dans un livre de Marie FORLEO : « Tout est possible ».
Un biais de confirmation, c’est le fait d’aller chercher des informations qui vont confirmer nos croyances.
Moi qui suis convaincue que ces histoires de masque, de gestes barrières et d’injection sont des conneries, je vais m’intéresser en priorité à une foultitude d’informations disant que tout cela, c’est du bullshit.
Vous qui êtes convaincu par le narratif officiel, vous allez trouver plein d’informations disant le contraire.
La différence, c’est que la majorité des informations auxquelles j’aurai eu accès m’auront été transmises par des personnes n’ayant aucun conflit d’intérêt avec l’industrie pharmaceutique, tandis que les vôtres vous auront été fournies par des gens qui en débordent. Mais cela vous semblera un détail sans importance alors que je considèrerai que c’est le détail principal dont il faut tenir compte pour juger de la fiabilité de sa source d’information.
S’en suivra une discussion longue et fatigante au terme de laquelle vous me traiterez de complotiste tandis que moi, je vous trouverai naïf et moutonnier. Des conversations que je me garde bien d’avoir ces derniers temps. Je préfère réserver mon énergie pour des activités plus réjouissantes.
Du coup, dans la mesure du possible, je ne porte tout simplement plus de masque quel que soit le lieu et j’incarne ce que j’estime juste et cohérent car je ne supporte plus de vivre dans la dissonance cognitive. Ce n’est pas facile. Ce n’est pas simple. Le masque, les gestes barrières et l’injection sont devenus des religions. Et une religion, on ne l’interroge pas car les voies du Seigneur sont impénétrables et comme la psychanalyse réussira à tout expliquer en ramenant le problème à la sexualité, la religion renvoie tout à la volonté divine. Et dans notre réalité, depuis deux ans, les décisions absurdes sont prises à l’aune de la science, la Science avec un grand S et la médecine avec un grand M.
Vous avez remarqué que les professionnels de la santé continuent à être masqués ? Dans les pharmacies, on peut désormais, en tant qu’usager entrer démasqué mais les professionnels, en face, conservent leur masque, religieusement. Les chiffres du réseau Sentinelle ne les influencent pas, le fait que sur les boîtes de masques on pouvait lire : « ne protège pas des infections virales » ne les influence pas, le fait que deux années de respect de gestes barrières et de masquage et une année d’injection n’aient pas le moins du monde empêché la transmission ne les interpelle pas.
Les professionnels de santé sont devenus à mes yeux des êtres inquiétants qui ne remettent rien en question, ne s’interrogent pas sur ce qu’on leur demande de faire et deviennent de fait maltraitants.
Ils pouvaient l’être avant, j’ai vécu quelques expériences qui me le confirment. La psychanalyse fait l'hypothèse que les gens qui choisissent la profession de chirurgien subliment leurs tendances sadiques. Quand on est malade ou que l’on a besoin d’assistance, on est dans une posture de faiblesse et la personne en face peut en profiter. Le personnel soignant, s’il n’y prend garde, tout comme le personnel de l’éducation nationale, peut devenir maltraitant. Il obéit aux règles, il fait respecter les règles. Tout discours contraire à la doxa est considéré comme suspect.
Les études qui remettent en question l’intérêt du masque ne sont pas considérées.
Les études qui remettent en question l’intérêt des gestes barrières ne sont pas considérées.
Une étude réalisée sur 10 millions de personnes en Chine disait que les personnes asymptomatiques ne transmettaient pas le virus. En avez-vous déjà entendu parler ?
Une étude danoise concernant l’inutilité du port du masque a été refusée par plusieurs journaux médicaux et ses résultats ont été balayés d’un revers de main. En avez-vous déjà entendu parler ?
Ce que l’on nous impose n’a rien à voir avec la science. La science, c’est la controverse, c’est le débat parfois houleux entre spécialistes d’avis différents.
Ce que l’on nous impose n’a rien à voir avec la médecine. La médecine, c’est soigner, prendre soin, ne pas nuire. La médecine, c’est s’informer, se former, tenir ses connaissances à jour et être capable de les remettre en question au vu de la réalité.
Jamais avant cette crise, un médecin n’avait refusé de m’examiner, me disant : « Je vous examinerai quand vous aurez fait un test. » Jamais avant cette crise un médecin n’avait pas pris la peine de s’enquérir de mes antécédents afin me soigner au mieux.
Je ne fais plus confiance aux blouses blanches. Je ne fais plus confiance au personnel de l’éducation nationale. Je suis sur mes gardes et vigilante, pour moi et pour mes enfants.
Je suis souveraine, je me veux maîtresse de mon corps et de ce que je suis d’accord pour le voir subir ou non. Idem pour celui de mes enfants tant que j’ai mon mot à dire sur ce que leur corps doit ou non subir.
Cette crise est salutaire car nos yeux, si nous le voulons bien, sont en train de se déciller. Encore faut-il accepter de les décrotter.
Rosa Parks : https://fr.wikipedia.org/wiki/Rosa_Parks
Covid-19 : "Les transports publics ne sont pas un lieu de contamination" selon Djebbari (rtl.fr)
Harold Searles: L'effort pour rendre l'autre fou: présentation (psyaparis.fr)
Biais de confirmation — Wikipédia (wikipedia.org)
Marie Forleo — Wikipédia (wikipedia.org)
Danemark : la plus vaste étude sur le port du masque… cherche publication – Covidemence
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